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L’enfant intérieur : simple mode ou vraie clé de transformation ?

  • Floriane CALAU-TROCHAIN
  • 20 oct.
  • 2 min de lecture

Depuis quelques années, on parle beaucoup de “l’enfant intérieur”. Certains y voient une mode du développement personnel, d’autres une véritable voie de guérison.

Mais derrière ce mot souvent galvaudé, se cache une réalité bien plus profonde : celle d’un lien à soi, longtemps oublié.


Notre enfant intérieur, c’est la partie la plus vivante, spontanée, sensible de nous. Celle qui a connu la joie, la curiosité, mais aussi les blessures, les peurs et les manques.

En grandissant, nous apprenons à “tenir bon”, à “faire face”, à “ne plus pleurer”... Pourtant, ces émotions refoulées continuent de vivre dans notre corps. Elles façonnent nos comportements d’adulte sans que nous en ayons conscience.


🌿 En kinésiologie, écouter son enfant intérieur

En séance, grâce au test musculaire, le corps nous guide vers les âges où certaines émotions se sont figées.C’est souvent à cet endroit que se trouve la clé : la peur de ne pas être aimé(e), la honte d’avoir échoué, la tristesse d’avoir été ignoré(e)... Ces mémoires sont toujours là, comme des fils invisibles qui influencent nos réactions d’aujourd’hui.

Libérer l’enfant intérieur, c’est lui redonner une place.C’est lui dire : “Je t’entends, tu n’es plus seul.”Et permettre à l’adulte que nous sommes devenu de se sentir plus apaisé, plus aligné, plus libre.


💫 Quelques pistes pour vous reconnecter à votre enfant intérieur :

  • Respirez : Posez une main sur votre cœur, une autre sur votre ventre, et laissez venir une image de vous enfant. Que ressent-il ?

  • Créez : Dessinez, chantez, dansez, riez sans chercher à bien faire. Votre enfant intérieur s’exprime dans la spontanéité, pas dans la perfection.

  • Soyez doux avec vous-même : Chaque fois que vous vous jugez, demandez-vous : “De quoi aurais-je eu besoin à cet âge-là ?”


Ces petits gestes simples ouvrent la voie à une transformation durable.Car tant que l’enfant blessé n’est pas entendu, il cherche sans cesse à l’être. Mais une fois reconnu, il devient une ressource précieuse, un moteur de joie et de créativité.



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